mercredi 9 novembre 2005

Le facteur femme

Et non "la femme du facteur", ni "ma femme et mon facteur",

Ici je veux parler d'une théorie au sujet des racailles arabes de France.
Cette théorie n'est pas de moi, je l'ai lue dans un article dont je ne me souviens pas le journal.

La femme est humiliée dans l'Islam.
Elle n'a pas d'autre statut que celui de vache à accoucher et allaiter les petits musulmans. Si elle veut dire quelque chose, ce sont les coups ou un gros morceau de tissu pour la recouvrir, de la tête aux pieds s'il le faut ou si la mode locale l'exige.

Oui oui je sais je généralise. Mais je ne fais qu'extrapôler à partir de ce que je vois, ou ne vois pas, à la télévision ou dans la rue. Je vois rarement une musulmanne exprimer son opinion, si ce n'est pour réclamer son "droit" à se taire et à se faire recouvrir. Je ne compte pas celles, courageuses, qui se révoltent contre l'Islam en tant que tel, puisque celles-ci sortent du cadre de mon analyse, qui vise la culture musulmanne et non les "gènes" de ceux qui sont nés musulmans.

La femme est dont humiliée en Islam.
Surtout la maman.
Et il y a un type, qui s'appelle Freud, qui a vachement bossé sur le rôle de la relation mère-fils dans le developpement émotionnel du gosse.
Que penser d'un gosse qui dès sa naissance voit sa mère se faire taper, se faire taire, et se faire humilier par les frères et le père ? Sigmund a vu des gens devenir des psychopathes récidivistes pour moins que ça...

Je ne suis pas psychanalyste, et j'avoue que je serais curieux d'entendre l'avis d'un professionnel, mais je peux imaginer comment l'humiliation de la mère peut se projeter au fil des années sur l'enfant, générant un sentiment d'humiliation perpetuel, infondé, et paranoïaque. Ce sentiment, récurrent dans le discours arabe et musulman, sert a justifier les pires atrocités, allant de la bombe humaine a la chamaillerie à l'école, en passant par l'intifada telle qu'on la voit en Israël ou en France.

L'important n'est pas tant que le jeune Arabe se soit fait vraiment mal considérer par effet de racisme lors d'un entretien, d'une visite d'appartement ou de contrôle de police. Nous avons tous nos moments d'humiliation au cours de notre vie. Et chacun de réagir de manière plus ou moins positive. Il y a ceux qui appellent au jihad pour sauver l'honneur de la oumma, et il y a ceux qui laissent glisser pour se consacrer à l'activité productive qui tentera de changer les préjugés de l'autre. Je suis de ceux qui croient que ce choix individuel est extremement lié au traîtement, à l'éducation, et aux modèles reçus dans l'enfance. Et de ce côté là, les rebeus sont vraiment mal barrés.

Il y a plusieurs fronts contre l'Islam et les dégâts qu'il provoque de nos jours: bloquer les médias de haine, épier les terroristes et les arrêter à temps, attaquer les dirigeants qui profitent de ce terreau de haine.
Et il y a un quatrième front: protéger les droits de la femme. Partout ou l'on observe un abus a l'égard d'une femme musulmanne, ne demander l'avis à personne et tout faire pour préserver cette femme; ses droits et sa dignité, quitte à ingérer dans les affaires familiales. Meme si la victime refuse l'aide, souvent par peur des représailles de ses proches. Comme un enfant battu qu'on extrait de force de sa famille de tortionnaires. Et cela comprend aussi le jugement et la punition des membres de la famille qui ont maltraité cette femme. Tout ca au nom de la République.
Parce qu'une femme humiliée, c'est toute une génération sacrifiée par derrière.

Aucun commentaire: